Colocation forcée et enquête – Chronique !

Hey !

Comment allez vous mes petits choux ? Bien ? Tant mieux ! On se retrouve aujourd’hui, comme promis, pour une nouvelle chronique et c’est mon auteur de l’été qui est mis à l’honneur aujourd’hui puisque je vais vous faire découvrir Un appartement à Paris de Guillaume Musso ! C’est parti !

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Auteur : Guillaume Musso
 Edition : XO Edition
 Année de Parution : 2017
 Nombre de pages : 483
 Public : Jeune adulte, Adulte

Résumé :

« Paris, un atelier d’artiste caché au fond d’une allée verdoyante.
Madeline l’a loué pour s’y reposer et s’isoler.
À la suite d’une méprise, cette jeune flic londonienne y voit débarquer Gaspard, un écrivain misanthrope venu des États-Unis pour écrire dans la solitude. Ces deux écorchés vifs sont contraints de cohabiter quelques jours.
L’atelier a appartenu au célèbre peintre Sean Lorenz et respire encore sa passion des couleurs et de la lumière. Terrassé par l’assassinat de son petit garçon, Lorenz est mort un an auparavant, laissant derrière lui trois tableaux, aujourd’hui disparus. Fascinés par son génie, intrigués par son destin funeste, Madeline et Gaspard décident d’unir leurs forces afin de retrouver ces toiles réputées extraordinaires.
Mais, pour percer le véritable secret de Sean Lorenz, ils vont devoir affronter leurs propres démons dans une enquête tragique qui les changera à jamais. »

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Qu’en ai-je pensé ?

Je viens de vous le dire, Musso c’est un peu mon auteur de l’été, je réserve toujours ses livres pour cette période et petite histoire sentimentale avec lui, c’est par la chronique d’un de ses livres qu’a officiellement démarré le blog (la chronique est ici si ça t’intéresse mon petit). Son dernier roman avait d’ailleurs été un véritable coup de coeur, en sera-t-il pareil pour celui ci ? Voyons ensemble !
Déjà, et comme d’habitude, ce roman est vraiment entraînant, c’est d’ailleurs une caractéristique que j’apprécie beaucoup dans les romans de Guillaume Musso, on ne s’ennuie pas !
Les personnages développés ici sont très intéressants. D’un côté Gaspard le misanthrope et de l’autre Madeline l’ancienne flic. Tout les oppose et pourtant ils vont devoir s’apprivoiser pour travailler main dans la main. Cet apprentissage et ce travail est d’ailleurs orchestré par Sean Lorenz, artiste peintre décédé qui va donner naissance à l’intrigue. C’est le fantôme qui manipule toute les ficelles de l’histoire et des jours de Gaspard et Madeline.
La trame développé par Musso, autour de l’art mais aussi d’autre valeur telle que la famille et les démons des gens est très intéressante et pleine de rebondissements, il n’y a vraiment pas le temps de s’ennuyer tant tout s’enchaîne rapidement et est assez bien mené. On passe son temps à se poser des questions, à élaborer ses théories comme si nous étions personnages à part entière du roman.
Autre petite chose que j’ai apprécié c’est le grand respect des différents lieux, ce qui rend le récit plus vivant et plus immersif.
Enfin, l’auteur a glissé des petits rappels et clins d’oeil à d’autre personnages ou d’autre storyline de ses autre romans dans l’histoire, la cohérence ainsi crée est donc plutôt agréable.
Il y a cependant quelques petits points négatifs à soulever. Même si j’étais très prises dedans, cette histoire était un peu moins entraînante que celle de son roman précédent. Je me suis un peu moins sentie transportée par l’histoire de Madeline et Gaspard que par celle de Raphaël et sa Fille de Brooklyn.
J’avais également une petite impression de déjà vu concernant la trame de l’intrigue principale, j’ai retrouvé un peu le même scénario que la Fille de Brooklyn, ça m’a un peu dérangé je vous l’avoue.
Je terminerais par dire que la dernière partie du roman était un peu rapide à mon goût, un peu plus de détails concernant les personnages et ce qui leur arrive ou leur est arrivé n’aurait vraiment pas été de refus. C’est dommage.

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En bref, ce livre pour moi c’est …

Une histoire sympathique, c’est un bon roman d’été et de plage et c’est toujours agréable de lire du Musso mais je n’ai pas trouvé Un appartement à Paris à la hauteur de La Fille de Brooklyn. J’ajoueterai d’ailleurs que les romans de Guillaume Musso sont un peu redondants.

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« Qu’y a-t-il au fond, de plus triste que voir son âme soeur devenir son âme damnée ? »

Voilà pour cette chronique les schöetzalas, j’espère que vous l’aurez apprécié ! Comme d’habitude partager moi vos avis, que ce soit à propos du livre, de l’article ou même du blog en général, c’est toujours enrichissant ! Sur ce je vous laisse, passez une bonne journée/soirée/nuit et à la prochaine !

Des Schmoutz !


10 réflexions sur “Colocation forcée et enquête – Chronique !

  1. Je dois t’avouer que je n’ai jamais lu Musso et il faut que je répare ça, parce que j’ai lu un Lévy donc je veux tenter son « rival » si je puis dire ! Celui qui me fait envie depuis le début, c’est la Fille de papier, j’aime beaucoup le titre. Mais celui-ci pour son rapport à l’art me parle bien quand même.
    Et comme on est samedi, rentre bien de tes vacances du coup. c:

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  2. J’ai un peu peur de découvrir Musso pour une raison très bête, j’ai pas du tout aimé les bouquins de Marc Levy et j’ai entendu que c’était un peu la même chose (je sais c’est trop nul comme raison huhu).
    Enfin, je suis quand même prête à lui laisser une chance parce que je veux pas mourir bête ! ^^

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